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C’est avec les membres de la Convention Citoyenne pour le Climat que Marc Fesneau, Ministre chargé des relations avec le Parlement et de la Participation citoyenne, s’est rendu sur le site historique de l’usine de Renault/Flins. Cette dernière met en place du projet de RE-FACTORY, faisant de l’usine de Renault la première usine européenne d’économie circulaire, « mobilisé dans la transition écologique » selon le ministre.

Qu’est-ce que que le projet Re-factory ?

Selon le groupe Renault, voici comme ce dernier présente la Re-Factory.
« La Re-Factory est la première usine européenne d’économie circulaire consacrée à la mobilité. Un écosystème industriel et commercial créé par le Groupe Renault, ouvert aux start-up et aux partenariats. Son objectif est d’encourager les initiatives, de développer l’innovation au service de l’économie circulaire, et de viser un bilan carbone négatif à 2030, en lien avec notre ambition européenne de zéro impact pour 2050. Une reconversion pérenne et responsable, tant sur le plan environnemental que social, qui s’appuiera sur les nombreux atouts du site et de nos collaborateurs. »

Le ministre et sa délégation furent reçus par Jean-Dominique Senard, président du Renault, depuis 2019, et par Jean-Philippe Billai, Directeur de l’usine et du projet Re-Factory Flins.

En plus des membres de la Convention Citoyenne pour le Climat et de l’ensemble de la délégation parlementaire conduite par Jean-Marc Zulesi, député des Bouches-du-Rhône, le ministre était accompagné par Gerard Derouin, le Sous-Préfet des Yvelines. De nombreux élus locaux étaient également présents comme Marie Lebec, députée de la première circonscription des Yvelines, Bruno Millienne, député de la 9ème circonscription des Yvelines, Laurent Richard, maire de Maule et conseiller départemental des Yvelines, et Gilles Lécole, maire d’Aubergenville.

Cette délégation d’élus ont visité l’usine de Flins et assisté à la présentation du projet
de Re-Factory. Un projet d’économie circulaire et de transition écologique qui pourrait sans doute aider l’usine de Renault/Flins qui est actuellement dans le doute, surtout ses salariés, face à l’avenir du groupe.